Cour suprême, deuxième chambre pénale, arrêt 690/2019 du 11 mars. 2020, Rec. 1807/2018

INJURIES. Transmission du VIH dans les cas où la personne infectée connaissait la maladie de son partenaire. La plaignante savait que son partenaire était porteur du VIH, donc ayant accepté d’avoir des relations sexuelles avec lui, sans aucune sorte de prophylaxie, la transmission de la maladie n’est pas digne d’un reproche pénal. Preuve extérieure de la maladie que la plaignante a dû percevoir, puisqu’elle a elle-même été diagnostiquée des mois plus tard, et que ni après ce diagnostic, ni lorsqu’elle a signalé la prétendue agression, elle n’a fait la moindre allusion à la contagion de la maladie. In dubio pro reo. Mise en danger de la plaignante elle-même.

La Cour suprême a rejeté le pourvoi en cassation formé contre la sentence de l’Audience provinciale de Madrid et a confirmé la condamnation pour le délit de lésions aggravées dues à l’infection par le VIH.

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