A observé que les individus qui pensaient que la loi exigeait d’avoir des rapports sexuels protégés ou de divulguer le statut sérologique, rapportaient des pratiques sexuelles tout aussi dangereuses que les individus qui ne le pensaient pas. La plupart des individus estimaient qu’il était mal d’exposer les autres au virus et qu’il était bien de divulguer son infection à ses partenaires sexuels. Ces convictions n’étaient pas influencées par leur perception de la loi ni par le fait de vivre dans un État ayant une telle loi ou non.