Examine l’utilité de l’analyse phylogénétique dans les procès criminels relatifs au VIH, et conclut que l’analyse phylogénétique ne peut pas prouver que la transmission du VIH s’est produite directement entre deux individus. Explique que l’analyse phylogénétique peut disculper des individus en démontrant que le défendeur était porteur d’une souche virale sans rapport avec celle du plaignant.
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